lundi 28 septembre 2009

Les mots bleus


Un film que je viens de voir. Une des histoires les plus émouvantes que j'ai vues entre une mère et sa fille. Il m'a ennuyée au milieu, puis à certains moments aussi mais n'empêche qu'il a laissé une petite trace sur mon être :)

dimanche 27 septembre 2009

River flows in you


Je suis toute renversée, émue et pleine d'admiration face au courage de cette petite fille qu'était Anne Frank. Les juifs ont vraiment enduré le martyre durant la seconde guerre mondiale, traités comme des lépreux quand on les admettait sur terre, puis éliminés par les plus atroces façons. Je suis très sensible à leur Histoire parce que je trouve qu'aucun humain ne mérite un tel traitement sur terre, chacun a le droit d'exister et ce n'est certainement pas un de nos semblables qui va tenter de réfléchir là-dessus.

Je n'en suis encore qu'à la page 70/320 mais je n'ai pas pu attendre la fin du livre pour exprimer mon admiration pour cette jeune fille trop courageuse, brave, patiente, mature et très bien éduquée :)

Je suis étonnée de lire tout ce qu'ils ont enduré et pourtant elle ne s'est plaint aucune fois jusque là, ni exprimé sa douleur, ni sa peur (pas trop) ni un quelconque sentiment envers ceux qui leur voulaient du mal et pourtant il n'était pas des moindres!

Elle m'apprend beaucoup et m'a littéralement mise face à ma culpabilité actuelle quand j'ai lu : "On ne connaît vraiment les gens qu'après avoir eu une bonne dispute avec eux, alors seulement on peut juger de leur caractère!"

Je continue de lire et j'ai toujours du mal à comprendre ce calme dont elle a fait preuve avec les membres de sa famille, elle n'a encore exprimé aucun sentiment de révolte alors qu'ils ont dû tout quitter pour vivre en cachette dans une sorte de grenier, un espace clos d'où ils ne sortaient jamais. Ils se sont accommodés, y ont créé un espace pour manger, des toilettes, une cuisine... etc. sans jamais sortir. Elle ne s'est jamais plaint non plus de cet enfermement, ni de cette injustice... J'aurai écrit des pages et des pages pour exprimer ma rébellion mais pas Anne Frank... Je ne connais pas encore sa vision des choses, mais j'ai le sentiment que je ne tarderai pas à le savoir.

Elle était peut-être déjà comblée d'être toujours en vie et en bonne santé et je suis surprise de constater encore une fois à quel point l'être humain s'attache à la vie de toutes ses forces et n'a aucun problème, me semble-t-il à accepter de vivre dans les conditions les plus difficiles... Vivre, c'est tout ce qui compte.

vendredi 25 septembre 2009

Unforgivable sinner


Je l'ai rencontrée quelques heures après sa mort... et elle m'a fascinée. Aurait-elle eu le même effet sur moi si elle était encore de ce monde? Peut-être pas aussi intensément. Je fuis la banalité et au bout du compte je m'y noie. Fuir c'est décidément tourner en rond, autant abandonner.

Nelly Arcan, une écrivaine québécoise que j'ai découverte quelques heures après son suicide. Son dernier roman "Paradis clef en main" paraîtra prochainement et parle justement du suicide, la prémisse de base est celle d'une société dans laquelle le droit au suicide est reconnu pour tous, et non seulement pour ceux qui sont gravement malades. J'adore déjà.

Nelly était une prostituée qui avait peur de vieillir, elle était fascinée par la beauté, une femme qui n'est pas belle est une femme condamnée. C'est ainsi qu'elle voyait la vie d'une femme, un perpétuel combat pour être la plus belle, pour séduire cet homme qui lui a le droit d'être gros et flasque. Si la beauté de la femme la fascinait et suscitait tout son intérêt, la relation homme-femme devait la révolter.

J'ai très envie de lire ses livres, notamment le premier "Putain", puis "Folie" et ce dernier qui sortira.

jeudi 24 septembre 2009

Dancing with myself


Un texte que j'ai lu et dans lequel je me suis vue comme dans une rivière limpide :

Il était une fois, une jeune femme qui se posait des centaines de questions par jour et répondait à chacune d'entre elles. Elle s'appliquait tellement à "bien" y répondre qu'elle finissait par vivre dans sa tête. Elle vivait si bien dans ses fantasmes qu'elle finit par se conforter dans ses jugements. Alors, petit à petit, elle devint critique et orgueilleuse. Elle regardait, jugeait mais ne disait jamais rien. Muette comme une carpe, elle ne réalisa pas qu'elle s'enfermait dans son jugement...

Aujourd'hui, elle est une humaine parmi les humains. Elle se dit observatrice mais elle ne que le faux juge de l'humanité. Et pire, son orgueil la plonge de plus en plus dans le gouffre de l'ignorance...

Ce texte est écrit par la personne qui me soule et que j'adore certainement le plus au monde parmi les personnes qui me soulent, alors évidemment que c'est elle qui l'a écrit, qui ça pouvait bien être d'autre?

Quand je l'ai lu je me suis reconnue, comme deux gouttes d'eau. Ma première réaction a été : est-ce qu'elle me déteste?? Peut-être ne me supporte-t-elle plus? Evidemment, comme toute chose qui m'importe trop, j'ai exposé mon souci sur le champ! Pas de manière aussi transparente évidemment, mon orgueil légendaire apparemment l'emporte sur le coup!

Apparemment ce n'est pas de moi qu'elle parlait mais maintenant que je lui ai posé la question et après l'avoir relu, elle me dit : finalement...

Le pire c'est qu'une autre de mes meilleures amies m'a dit que le personnage n'était pas trop loin du mien et que je suis une personne orgueilleuse dans ses opinions et extrême. Oui pour l'extrémisme je suis au courant -_-'

Le problème pour moi dans cette affaire c'est que ce descriptif de ma personnalité ne me dérangeait guère, bien au contraire, et il est probable que c'est parce qu'il dérangeait les autres que moi je l'appréciais! Une attitude très loin de la sagesse et de la maturité, j'en conviens! Mais la maturité ça demande des efforts, et je ne suis pas toujours prête à en faire, ça se fera petit à petit, j'en suis persuadée, parce qu'il le faut tout simplement!

Anyway, j'espère ne pas trop être dans le faux quand même, parce que je sais que j'y suis mais bon j'espère que je ne suis pas totalement à côté de la plaque! Et dire qu'il se peut que j'aie passé un temps fou à critiquer une personne qui finalement n'était que mon propre reflet! ça par exemple, ça va me stresser!!

mercredi 23 septembre 2009

Une connerie humaine de plus


J'ai lu ce matin un article sur Obama qui fait face actuellement à des attaques racistes dans son propre pays, c'est tout juste lamentable. Je me rappelle du premier film que j'ai vu et qui portait sur le racisme contre les noirs aux Etats-Unis d'Amerique, je devais avoir 13ans, j'étais anéantie. C'est vraiment le bas de l'échelle de l'humain intelligent, éprouver de la haine et du mépris, deux grandes horreurs, pour des personnes différentes de nous! C'est à peine croyable. Comme si deux personnes non différentes avaient existé un jour!


Je déteste le racisme même s'il est contre mon ennemi.

mardi 22 septembre 2009

Rock & Jazz


Ces 3 ou 4 derniers jours, j'ai découvert et redécouvert beaucoup d'artistes Rock & Jazz qui valent le détour ! Je cite :

Catégorie Jazz :
  1. Randy Crawford.
  2. Melody Gardot
  3. Nouvelle vague (Chillout)
  4. Moriarty
  5. Madeleine Peyroux.
  6. Jamie Cullum.
Catégorie Rock :
  1. Muse (le dernier album "The Resistance" est magnifique)
  2. Playing for change (des reprises faites par des artistes des 4 coins du globe pour la paix dans le monde, magnifiques vidéos sur youtubes)
  3. Green day (leur dernier album 21st century breakdown est trop fort aussi)
  4. Dead by sunrise (le groupe de Chester Bennington, le vocal de Linkin Park est très bon également)
  5. Ram Jam
  6. Eagles of death metal
  7. Kings of Leon.
  8. Hockey.
  9. White lies
  10. Imelda May
Voilà, je vous avais prévenus qu'ils étaient nombreux!

mardi 15 septembre 2009

Child in time


Hier, j'ai eu 24 ans et comme le veut la coutume depuis quelques années déjà, un bilan de l'année précédente s'impose.

Mes 23 ans avaient mal démarré, il y avait eu comme un bug dès le départ, on n'arrivait plus à se connecter sur le net et biazrrement nos personnes respectives se sont déconnectées également au même moment. C'est louche oui. Mes 23ans ont été louches.

En perdant cette connexion particulière, j'ai essayé de la combler par une autre aussi apaisante avec moi-même, mais ça a fini par me lasser, comme d'habitude.

J'ai croisé le chemin d'une personne spéciale avec qui j'ai fait un bout de chemin non négligeable, c'était très intense entre nous tout au long de la route, jusqu'au jour où toute forme d'émotion a disparu en moi et on s'est quittées d'un commun accord, mais j'étais plus d'accord qu'elle... pour emprunter l'expression de Grand Corps Malade. C'est une personne qui reste pour moi aujourd'hui encore, un réel mystère, autant que je le reste pour elle... une rivière qui détruit tout sur son passage, c'est ainsi qu'elle m'a décrite un jour.

Ensuite il y a eu une seconde rencontre très improbable, je l'ai choisie par hasard parce que comme moi elle avait un certain faible pour la lune, elle s'est imposée dans ma vie dès les premiers instants, je m'en souviens très bien, elle n'a pas froid aux yeux, elle portait des jugements sur ma vie, sur mon entourage et sur moi-même sans aucune gêne, je ne peux oublier à quel point elle me mettait hors de moi dès les premiers instants! Toute cette alchimie s'est transformée en une grande amitié très singulière je l'avoue, parce que je l'adore autant qu'elle me fait chier comme pas possible!! Et j'adore son chat noiiiiiir !! ^^ qui dégage les mêmes ondes qu'elle... bizarrement! On est très différentes et en même temps tellement semblables, comme si on était des faces différentes d'une même vérité.... J'adore.

La troisième rencontre spéciale de l'année n'est pas des moindres, alors lui c'est une histoire de dingues, à la hauteur de nos folies respectives. Si durant mes 22 ans j'avais rencontré une personne avec qui nos visions de l'existence étaient presque confondues, à 23 ans j'ai rencontré une personne avec qui je partageais mon monde abstrait, mon monde fou, mon monde que je n'ai jamais dévoilé à quiconque, même pas à moi-même à haute voix, parce que l'abstrait ça ne s'explique pas, parce que sinon ce ne serait plus de l'abstrait. On utilise les mêmes métaphores, on a presque le même style d'écriture des fois, je lui ai fait part de mes secrets un peu illégaux sans hésiter, c'est sorti tout seul, les mots coulaient de ma bouche d'un naturel exemplaire et l'idée de me méfier n'a pas frôlé mon esprit une seconde. J'ai adoré cette rencontre, c'est une personne avec qui je pourrai peindre le même tableau et je sais que ça sera cohérent, même si tous les deux n'avons encore jamais rien peint. Partager son monde abstrait qui n'existe qu'à l'intérieur de notre petite tête avec quelqu'un d'autre c'est vraiment une expérience inédite, avoir le même mécanisme de réflexion en amont, c'est d'une grandeur! Je suis très contente de cette rencontre, et si j'ai déclenché la première, ce n'était pas le cas pour celle-ci. L'équation est correcte encore une fois.

Des amitiés se sont renforcées cette année et je suis devenue très liée à l'une d'entre elles, c'est une amitié trop belle, que j'adore, très artiste... qui s'est construite sans que je ne la vois venir, c'est la récompense de notre spontanéité, notre fragilité et notre force.

En commençant cet article, je pensais que mes 23 ans étaient plutôt tristes et sombres, je me surprends. Il faut dire qu'il y a comme un arrière goût amer quand même, des enfants s'amusant avec du feu, ça pourraît être une image représentative de ce que j'ai en tête, ils se tapent des fous rires ensemble mais dans un endroit très risqué...

J'ai essayé de m'en sortir sans dégâts de mes 23 ans, mais j'ai fini par me casser la gueule de peur de me casser la gueule, maintenant que c'est fait, je suis en convalescence. C'était le but, ou plutôt le chemin le plus court et le plus facile que j'ai trouvé pour me sortir de mon tourbillon infini... échapper au trou noir en m'écrasant contre le mur!

23 ans, c'était beaucoup beaucoup de larmes, je pense avoir épuisé mon réservoir et surtout je n'ai pas l'intention de pleurer durant mes 24 ans, sauf si c'est par foi mais certainement plus pour une histoire de mec!

Mes 23 ans, c'était aussi beaucoup de tensions familiales, une expérience qui reste malgré tout enrichissante.

Mes 23 ans c'est surtout mon éveil spirituel. La spiritualité passe avant tout dans ma vie et je ne vis que pour elle, ce n'est que comme ça que mon existence porte un sens à mes yeux. Je ne remercierai jamais assez Dieu de m'avoir ouvert les yeux du coeur, c'était un éveil soudain et qui m'a beaucoup secouée, c'était un éveil déterminé et aussi tranchant qu'une épée. C'est un monde nouveau que je découvre, c'est une vision nouvelle de l'existence que j'adopte petit à petit.

Voilà, c'est un bilan général. Le début de l'année m'annonce souvent les couleurs et tendances de la suite, le début de mes 24 ans, je n'y ai pas assisté, je dormais. Je me sens calme, je me sens comme neuve, en même temps je guette mais je ne sais ce que j'attends exactement, mais je me sens comme dans une chambre blanche, vide et je sais que forcément il va y avoir de l'action et des couleurs, alors je guette sans rien attendre... en même temps les couleurs de ma chambre c'est moi qui les ferai, j'ai déjà quelques idées pour la déco. Mes 24 ans, ce sera l'année où je prendrai un nouveau départ qui affectera ma vie quotidienne au complet, ce sera le début de ma vie comme je voudrai qu'elle soit et cette fois-ci j'ai dépassé le stade de la réflexion, je suis passée à l'action... Le temps est venu pour toi joli papillon de sortir de ton cocon. Bonne chance.

vendredi 11 septembre 2009

Losing my keys


I've been losing a lot of keys lately, I don't know what that means but maybe I'll be better with things that can't be locked at all.
- Losing Keys - Jack Johnson

lundi 7 septembre 2009

Let's dance?


Depuis que j'ai découvert cette Hannah Montana je suis plongée dans mes années de collégienne! Je vais même acheter les mêmes bottes qu'elle! ça craint oui! On dirait l'époque Spice Girls quand tout le monde portait leurs baskets à talons! Sauf que ça me fait un bien fou, je ne sais pas si ça cache quelque chose de plus sérieux (je suis sûre que non) ou si c'est juste ma nature "à bas les barrières et les frontières" qui revient, et j'avoue que j'en suis toute excitée et je l'accueille à bras grands ouverts! En tout cas ça change de la musique dépressive que j'écoutais un peu beaucoup ces derniers temps. Est-ce que je joue au clown qui pleure sous son masque au large sourire? Je ne pense pas, parce que je m'éclate sincèrement l'espace des 3min de la chanson!

Let's dance
What the week end
What the night is all about
Let's dance
Grab your girlfriends
Grab your boyfriends
Sweat it out
Let's dance
Move your whole body
Let's start the party
To the number one girl to make her go crazy
I need you boy to dance with me baby
- Let's dance - Miley Cyrus

Un coup je parle de l'existence, un coup je fais du break dance sur du Hannah MOntana, des fois je m'étonne moi-même! J'hésitais entre des cours de piano ou de danse, là je crois que je viens de faire mon choix! Let's dance!

dimanche 6 septembre 2009

L'existence



Il y a deux catégories de personnes, il y a les Hommes d'action et il y a les Hommes de la réflexion. Les premiers vivent, les seconds le pensent. J'avoue que je suis plutôt bien installée parmi ces derniers, c'est ma paresse qui a tranché et mon côté rêveur, un peu hébété aussi.

Ce qui est le plus dérangeant dans ces réflexions faîtes par les gens, c'est l'aspect négatif qu'elles prennent. On est triste d'être là, on a gardé un goût amer de nos premières larmes à la naissance et qui semblent nous accompagner durant toute notre vie. Les Hommes sont les larmes de Dieu, on est là malgré nous, on est victime d'une existence qui nous échappe, la vie n'est qu'un jeu auquel personne ne survivra, la vie n'est que douleur, tristesse, bonheur éphémère et déceptions éternelles... I mean, come on !!! Des esprits ingénieux ont usé de leur créativité et sont venus avec de nouvelles théories plus gaies : nous existons parce que nous l'avons décidé, nous l'avons peut-être oublié comme nous avons pu oublier nos souvenirs de nourrisson mais nous sommes bien là parce qu'à un moment nous avions fait ce choix. D'autres théories nous affirment que nous n'existons pas et pensent pouvoir le démontrer d'une manière scientifique et logique, il y en a qui sont allés même plus loin et ont démontré que l'enfer n'existe pas et ne peut exister. L'Homme panique comme un insecte excité autour d'une source lumineuse et tente de se rassurer par tous les moyens. Pourtant... il est entrain de perdre son temps, il passe à côté de son existence en continuant à se poser des questions qu'il pourrait user comme amuse-gueules et qu'il use comme occupation à plein temps et oublie que son temps est compté et que ce n'est pas sans raison. Et il meurt avant même d'avoir existé, quelle perte d'énergie, finalement il aura juste servi de décor amusant aux vivants qui de temps en temps levaient la tête vers cette lumière et profitaient du spectacle le temps d'une pause. Quel dommage. Penser c'est bien, encore faudrait-il savoir le faire.

Ce goût amer que nous avons tous ressenti à un moment ou un autre de notre existence éclair est un moment d'inattention.

A tous ceux qui attendent leur mort pour enfin connaître LA vérité et avoir réponse à leurs questions, une fois morts elle peut être inutile.

A ceux qui espèrent la trouver dans cette vie, ce n'est pas en ayant les yeux fermés à révasser que vous serez en mesure de la voir.

Ni en vous excitant autour de cette source lumineuse...

Ni en vous arrêtant au milieu du chemin pour y penser, parce que la vérité est au bout du chemin.

J'adore observer le lever du soleil, c'est mon moment préféré de la journée, c'est un moment magique. Je m'en vais en profiter.

Ah oui, une dernière chose, la vérité n'est jamais acquise, une fois l'avoir trouvée elle peut toujours vous échapper, pour ne pas la perdre de vue... c'est là où "penser" entre en jeu.

samedi 5 septembre 2009

Ma tête prochainement


En Octobre je me ferai une nouvelle tête. Ma nouvelle coupe ressemblera à celle-ci! J'adore!

Jeux d'enfants


La vie est un immense terrain de jeux, on le sait quand on est enfant mais on a tendance à l'oublier en vieillissant. Moi, je ne vais pas l'oublier!

jeudi 3 septembre 2009

Flatland

Un livre magnifique de science fiction mathématique, écrit par Edwin Abbott. Ce pasteur anglais, en marge de ses recherches théologiques, a écrit à la fin du 19ème siècle (1884) ce jeu d'esprit de "science-fiction mathématique" : Carré, habitant de Flatland, le pays à deux dimensions, nous conte comment il a été convié à découvrir les mystères de la troisième dimension, et nous invite à comprendre la situation et le mode de vie de son peuple.
Aux habitants de l'ESPACE EN GENERAL
et à H. C. en particulier
Cette Oeuvre est Dédiée
Par un Humble Carré Originaire du Pays des Deux Dimensions
Dans l'Espoir que
Tout comme lui-même a été Initié aux Mystères des TROIS Dimensions
Alors qu'il en connaissait SEULEMENT DEUX
Ainsi les Citoyens de cette Céleste Région
Eléveront de plus en plus leurs aspirations
Vers les secrets de la QUATRIEME, de la CINQUIEME ou même de la SIXIEME Dimension
Contribuant ainsi
Au Développement de l'IMAGINATION
Et peut-être au progrès
de cette Qualité excellente et rare qu'est la MODESTIE
Au Sein des Races Supérieurs
de l'HUMANITE SOLIDE.