dimanche 17 octobre 2010
Pourquoi les chiens aboient
Putain vous m'aurez plus !!
Free me
I'm out of my mind
"Etrange sentiment que l'adieu, il s'y glisse toujours une pointe d'envie, les hommes partent pour que soit mis à l'épreuve leur courage, mais nous, épreuve pour épreuve c'est notre patience que l'on teste, notre aptitude au manque, notre capacité à endurer la solitude, mais celà je le savais depuis toujours, nul besoin d'une guerre pour m'en persuader." Out of Africa
Deliver me
I'm just afraid
Butterfly, fly away
Il paraît que...
La vie en rose
Te quiero Barcelona
Chouette !
Destins liés
Feel me, see me
Oyasumi nasai
The story of the century
Je me sens rassurée.
J'espère qu'il durera le plus longtemps possible.
My romantic confusion dans toute sa splendeur
A 9h, tout le monde est réveillé, je me lève en silence, direction la salle de bain, je me regarde dans la glace, je ne sais pas ce que j'ai mais j'en connais la cause. C'est l'essentiel. Je descends les marches très lentement, je sens le temps couler plus lentement que d'habitude, les aiguilles du temps semblent hésiter ce matin... Tant mieux. Ma tête est vidée de toute pensée, c'est le vide total, le monde chaotique qui habite ma tête habituellement a déserté les lieux et tout se fait plus clair, plus spacieux, plus silencieux, plus lent...
Le petit déjeuner est servi, les mots peinent à sortir, l'effort que j'ai dû fournir pour dire "bonjour" est indescriptible, je leur en ai presque voulu de casser mon rituel silence de cette journée trop spéciale, unique...pas un mot de plus. Je me suis servie une tasse de café au lait, je l'ai saisie, en silence, j'ai ouvert la porte et suis sortie. Il faisait trop beau, trop chaud, un soleil magnifique, un jardin magnifique, un silence encore plus charmeur... En silence j'ai marché vers le pont, j'ai monté les marches en serrant ma tasse chaude entre mes mains, je traversais le pont en silence, devant moi s'étalait à perte de vue la verdure, le silence, une longue allée au milieu de la nature... Je n'avais jamais rêvé un petit déjeuner aussi merveilleux... les rayons du soleil brulants réchauffaient mon visage, j'étais en pyjama, je marchais en silence, comme somnambule... le regard perdu dansle vide, une envie de pleurer, de crier, en même temps, une envie de rien, une envie d'un silence éternel... J'aurai aimé que cette allée soit infinie, que ce moment dure une décennie, un siècle... Je ne savais pas ce qui traversait mon corps et mon être dans ces moments là mais je savais que c'était un moment important... C'était un moment de répit après un an de hurlements, c'était un moment de délivrance... C'était une affaire tellement intérieure qu'aucune émotion ni pensée n'est remontée à la surface... aujourd'hui encore... et ça me va.
Si j'avais la foi du monde
En cette seconde, Serais-tu là ?
Si j'avais renoncé au monde
Et que rien ne compte
Serais-tu là ?
Si j'avais le choix : mourir Pour t'entendre vivre,
Serais-tu là ?
Si j'avais le choix : souffrir Sans même te le dire,
Serais-tu là ?
Je serai là Et toi en moi
- Serais-tu là - Mylène Farmer
J'ai passé quelques instants avec Shaynès, que je considère comme ma filleul, tellement je l'adore, que j'adore sa mère et son père qui ressemble beaucoup trop à mon samouraï :) On a joué avec les chatons, on a fait une petite découverte des plantes qui nous entouraient, on a senti les parfums des fleurs, elle découvrait son sens du toucher et je découvrai mon sens du toucher d'un autre genre...
Ma journée a été silencieuse, trop zen, paisible, trop peaceful... Le bruit, la musique, le chaos et le désordre qui envahissait le restaurant au moment du déjeuner me coupait l'appétit et perturbait mon être tout entier...
En quittant la ville, c'était plus que la ville que je quittais, c'était une partie essentielle de ma vie dont je m'éloignais conscieusement, ce qui me faisait mal ce n'était pas autant ce que je quittais que ce que j'allais retrouver, le stress, le désordre, le bruit, le chaos de Casablanca et ce quotidien qui n'est pas mien que j'allais retrouver.
C'était une journée unique. Un état d'âme unique que j'ai hate de retrouver et qui ne m'a pas totalement quittée. En dégustant chaque goutte de mon café chaud, sous un soleil jaune et vert, les pieds enfoncés dans la terre, l'âme plus élevée que jamais... je savais que mon existence c'est dans la nature que j'aimerai la passer, j'ai hate qu'arrive le jour où mon quotidien deviendrait que nature...
C'était le dimanche 11 octobre 2009.
when you don't need an answer
dimanche 27 décembre 2009
22 : 29
J’ai rêvé de toi encore, comme dans la plupart de mes rêves, nous sommes comme dans un camp, un camp de réfugiés ou colonie de vacances, I don’t know, mais nous sommes toujours dans un endroit avec beaucoup de monde, où nous passons la nuit, le jour… cette fois-ci, c’était pareil et comme à chaque fois, nous nous parlons à peine, je ne me rappelle pas de mon rêve, parce que je n’ai pas voulu m’en rappeler, j’ai gardé juste une séquence sur la plage, c’était comme une compétition, il y avait my team Vs yours, tu étais avec des japonais, je ne sais pas de qui était constituée la mienne, j’étais plus occupée à me demander pourquoi je rêvais de toi encore.
Puis, j’étais en dessus d’un bus, j’étais en Italie, il devait m’emmener à la plage, mais je m’étais perdue en ville, puis je me suis retrouvée là où je voulais aller… par hasard. Je rêve souvent que je suis perdue dans des toilettes inondées, je te vois dans le noir dans mes rêves et je me demande toujours pourquoi je te vois et qu’est-ce que tu fais là, puis je fais comme si je n’avais rien vu. J’ai rêvé aussi que j’allais dans des épiceries acheter quoi manger et que nous étions comme en situation de guerre, il n’y avait plus beaucoup de stocks sur le marché, puis j’étais comme dans un café avec je ne sais qui, je ne sais où, au bord d’une plage.
Beaucoup de rêves d’aventure, beaucoup d’angoisse, je rêve toujours que je suis perdue, je rêve toujours de panique, je rêve toujours que je conduis une voiture et que j’en perds le contrôle… mais je m’en sors toujours gagnante dans chacun de ces rêves.
Ce qui a changé après ce rêve, c’est qu’en me réveillant j’étais prête à te reparler et à te réinsérer dans mon monde, but I won’t.
Mama told me there will be days like this
mercredi 30 décembre 2009
19 : 54
Je suis entrain d’écouter Vanity – Yuki Kajiura, la dernière fois que je l’avais fait c’était le 3 septembre. J’ai envie de te retrouver dans mon entourage, et même si tu es hors ligne, je ne veux pas passer de 2009 à 2010 sans que tu ne sois présent de quelque manière que ce soit. J’écoute Samurai x (rurouni kenshin) – piano solo… et je regrette amèrement qu’on en soit arrivés là, mais je sais qu’il n’y avait aucun échappatoire à cette situation malheureuse pour moi certainement et je sais aussi que ce n’est la faute de personne. Pour la première fois, je parle de nous, après plus d’un mois de silence, j’avais trop mal et je ne savais plus quoi faire ni penser alors j’ai préféré me taire et espérer que ce sentiment passerait avec le temps, un sentiment que je suis incapable de décrire, un vide intense et condensé, comme le big bang avant son explosion… Athar pense que maintenant je suis entrain d’exploser, moi je ne pense pas, je suis incapable d’exploser, je n’ai pas assez de cran pour ça et en même temps il est hors de question pour moi de blesser les gens que j’aime ou les mettre dans une situation gênante et pourtant je sais que j’ai été impolie avec toi des fois, je m’en suis excusée dès que je t’ai vu, ça me pesait vraiment sur le cœur, et je m’en excuse encore.
So close, no matter how far, couldn’t be much more from the heart, forever trusting who we are and nothing else matters… Never open myself this way, life is ours, we live it our way.
Coup de coeur
L'amour tel que je le connais
C'est là tout ce qui nous sépare : eût-il été à ma place et moi à la sienne, et bien que je l'aie haï d'une haine qui a teinté ma vie d'amertume, jamais je n'aurais levé la main sur lui. Vous semblez sceptiques, soit. Jamais pourtant je ne l'aurais séparé d'elle tant qu'elle souhaitait qu'il fût là. Du jour où ce désir aurait cessé, cependant, je lui aurais arraché le coeur, j'aurais bu son sang ! Mais jusque-là - si vous ne me croyez pas, c'est que vous ne me connaissez pas -, jusque-là, j'aurais préféré mourir peu à peu que de toucher à un seul de ses cheveux.Extrait des Hauts de Hurlevent
Innamoramento
mercredi 13 octobre 2010
Mixed emotions in pure confusion
Shit happens
Je n'arrive pas à me concentrer sur ce que je dois faire maintenant mais il n'y a pas d'échappatoire, je dois faire ce que j'ai à faire and move on, sauf que la barre d'exigence est très élevé et je ne suis pas très motivée pour faire semblant maintenant. Mais je n'ai pas le choix. Katie Melua se charge de ma motivation en ce moment même et elle n'est pas seule, there are nine million bicycles in Beijin.
Hier, j'attendais une amie dans un café et en écoutant une chanson romantique, pour la première fois depuis plus d'un an j'ai souri, et là je me suis rendue compte que je ne ressentais plus les lyrics romantiques, je ne les écoutais plus, ça ne me faisait plus vivre, je ne les pensais plus. Et c'est à ce moment-là que je me suis rendue compte que j'étais prête à en parler. Je vais tout rembobiner et faire la paix. Sauf que je ne suis pas très motivée non plus. Je suis comme ivre en ce moment. J'étais dans une ivresse profonde et mouvementée, disons violente, aujourd'hui je suis toujours ivre mais plus calme, c'est l'ébriété qui précède le long sommeil. Ce qui veut dire que ce n'est pas encore fini, ceci veut dire aussi que je vais devoir me réveiller avec un mal de crâne, les yeux horrifiés, rester pensive quelques instants, reprendre mon existence à un rythme plus lent, le temps de me réadapter, puis je ferai le point avec moi-même et ce n'est qu'à ce moment-là que tout... non, les choses ne redeviennent jamais comme avant. Disons qu'une nouvelle étape commencera effectivement à ce moment là. ça va faire 1 an ou plus que je me répète qu'une nouvelle étape de ma vie va commencer, je ne sais pas ce que j'entends ni ce que j'attends exactement de cette fameuse nouvelle étape. J'ai l'impression que je stagne et c'est pour ça que je me dis qu'il va y avoir un tournant pas loin, forcément, mais il ne vient pas ce tournant. Je ne sais pas. Faut que je travaille.
jeudi 30 septembre 2010
dimanche 19 septembre 2010
Jostein Gaarder, mon âme soeur
jeudi 16 septembre 2010
Risques & défis seront les mots d'ordres cette année et ça me va !
Comme chaque année, voici le bilan de mes 24 ans et les couleurs annoncées de mes 25 ans !
Les premiers mois ont été plutôt dark, plongée dans une dépression stupide que j'espère ne jamais avoir à revivre, je pense que ça restera à jamais le grand gouffre de ma vie sentimentale. I hate you.
Le mois d'avril a été le mois philosophique de l'année, je baignais in Nietszche's world et la fusion was nearly perfect, c'est aussi le mois où je m'étais le plus éloignée de ma religion.
La rencontre la plus importante de cette année est sans aucun doute une personne qui, j'ai l'impression, est devenue une de mes meilleurs amis du jour au lendemain, ça ne m'étonne pas de ma part mais bon.
Il y a aussi un groupe d'amis que je suis entrain de me faire et avec qui j'organiserai des voyages intéressants au cours des prochains mois, j'espère.
J'ai aussi renoué contact avec quelques amis d'enfance, merci Facebook.
Cette année j'ai surtout perdu des amis et me suis éloignée de plein d'autres, c'est la vie.
1. Le château des Pyrénées by Jostein Gaarder
2. Le livre des Esprits by Allan Kardec
3. Par delà le bien et le mal by Friedrich Nietzsche
Ensuite j'ai du mal à classer le reste, tous les livres de Nothomb, de Trinh Xuan Thuan, et la saga Twilight de Stephenie Meyer.
To sum up
Si les gens définissent leurs repères dès le bas age, moi j'avais toujours choisi de m'en fixer aucun et je disais que j'aimais flotter entre plusieurs mondes tout le temps parce que choisir un monde était trop me demander, parce que je me sentais libre comme ça, sans jamais choisir, ou du moins très rarement, parce que au moins comme ça j'étais sûre de ne pas me tromper puisque j'avais choisi de ne pas répondre. Mais il est temps pour moi de me poser, le cycle de la vie poursuit son cours, je ne serai pas une exception... Et pourtant, elle tourne... avait dit Galilée. La gravité a fini par avoir le dernier mot, Newton peut reposer en paix.
J'ai perdu un peu cette patience que j'avais pour écrire, rester là des heures à rêvasser, attendre que l'inspiration morde à l'hameçon et rédiger un texte presque parfait à mon sens, que je relisais sans me lasser.
Aujourd'hui, je crois que je rêve moins et j'agis plus qu'avant. La différence est bien là aujourd'hui, la méditation est passée en arrière plan et les actions ont pris le dessus. Je ne m'en porte que mieux, j'avais pris mon temps pour bouger, j'avais pris tout mon temps pour réfléchir, aujourd'hui en quelque sorte, j'existe.
Ces derniers temps, j'ai voulu être un esprit léger à la Carrie Bradshaw, mais depuis quelques jours, j'ai réalisé que je suis un esprit lourd et que ce sera toujours comme ça, c'est ce que je suis et ça ne changera jamais.
ça me fait tout drôle de voir toutes les étapes par lesquelles mes écrits sont passés, le parcours me semble aujourd'hui prévisible et largement consommé.
Le jour de mon anniversaire : Reflet de mes 25 ans
My special day c'était le mardi 14 septembre. J'ai repris mes cours de Bikram Yoga le lundi 13 septembre, je m'étais endormie tôt et me suis donc réveillée à 6h30 du matin, j'avais la pêche et j'avais passé une excellente nuit. J'avais 2 appels manqués et 2 sms sur mon phone, mes deux chéries qui m'avaient souhaité un happy b-day à minuit et à 1h du matin. Ma journée commençait très bien et c'est ainsi que commenceront mes 25 ans.
J'ai fait ma prière, que j'avais reprise la veille également, j'ai pris mon petit déjeuner complet : du lait chaud avec du Ricoré et des tartines de beurre cacahuètes et du fromage Kiri, j'adore. J'ai ouvert ma page Facebook, plein de monde qui me souhaite un joyeux anniversaire, ça fait plaisir.
Je suis allée au bureau, la journée s'est très bien passée, j'ai comme l'impression que je vais atteindre mon objectif de commercialisation à 100%, ce serait vraiment une première et si ça se réalise, je fêterai ça !
Le Bikram Yoga est devenue une ligne directive dans ma nouvelle vie, ça m'a apporté paix et sérénité, mon corps s'en porte à merveille et je le ressens à tout moment de la journée, je ne ronge plus mes ongles, mais le Bikram Yoga te met aussi dans une dynamique de risques et défis à relever en permanence, ce qui s'est très vite senti dans mon travail, vu que je repousse mes capacités aujourd'hui chaque jour de plus en plus de manière systématique et naturelle. Le Bikram Yoga me plonge aussi dans une trop bonne humeur et mon esprit en plus de mon corps n'en demande que plus !
Ce jour-la, j'avais donc deux défis à relever au boulot et au lieu de faire l'autruche comme d'habitude, je les ai affrontés et j'en ai relevé un, quant au second j'ai échoué mais je suis déjà satisfaite du premier résultat. Cette semaine, j'ai très bien travaillé, j'ai été efficace et j'ai bien avancé. Je suis contente.
A midi, en rentrant chez moi, j'avais téléchargé le film Spice World, et le revoir m'a fait entrer dans un délire fou, je ressentais mon excitation devant ce film à 13 ou 14 ans, et ça m'a fait tout drôle de réaliser que plus de dix ans déjà sont passés.
Le soir, j'avais cours de Bikram Yoga à 20h. D'habitude, je ne sors pas à cette heure-ci, je ne me sens pas en sécurité dans la rue, encore moins le soir, seule, entrain d'attendre un taxi qui a mis 15 minutes à arriver, ça m'a semblé interminable.
Il y avait deux gars à côté de moi qui attendaient un taxi aussi, ils parlaient de façon vulgaire et insultaient tous les taxi qui ne s'arrêtaient pas, je faisais de mon mieux pour rester zen, j'hésitais entre rentrer chez moi ou patienter encore un peu, ma séance de yoga en valait la peine et je l'ai vécu comme un nouveau défi à relever. Un taxi a fini par se pointer, je monte, il démarre, puis le chauffeur de taxi me dit qu'il va s'arrêter 5 minutes quelque part, le temps de ramener une course à quelqu'un qui n'arrête pas de l'appeler. Il conduit comme un malade, et je commence à me dire que ce n'était vraiment pas une bonne idée d'aller à ce cours à cette heure-ci et que j'aurai dû écouter ma petite voix tout à l'heure qui me proposait d'abandonner et de rentrer chez moi.
Après quelques minutes, il s'arrête dans une ruelle sombre, et descend de la voiture, il avait de gros sachets noirs dans les mains bourrés d'alcool et de bouteilles de champagne, je me suis tout de suite dit que c'était la merde, que ça par contre ça annonçait la zone de turbulence de mes 25 ans, essayer de changer mes habitudes, pousser un peu plus les limites de mes zones de sécurité, insister, frôler le danger... On dirait que ma soirée allait se terminer sur des notes plus stressantes et par conséquent annoncerait les contours de la fin de mes 25 ans.
Après quelques minutes, le chauffeur revient, je l'attendais dans la voiture. Il s'excuse, reprend la route et me dépose à temps pour mon cours.
Dès que je rentre dans la salle de cours, je m'apaise, c'est ma zone de sécurité. Quand je suis là, je ne pense à rien, j'oublie tout, il n'y a que mon esprit et mon corps qui existent durant 1H30, plus rien ne me préoccupe, plus rien ne me stresse.
C'est un cours difficile et très constructif. Ce soir-la j'ai eu droit à un "Very good job Hajar!" en effectuant la posture du Dandayamana Dhanurasana ou Standing pulling pose
Et à un "Très très bien Hajar!" en effectuant la posture de Bhujangasana ou Cobra pose
Et en quittant la salle, j'ai eu droit à un "Bravo!". J'étais aux anges !
Mon année se terminera donc sur des félicitations et de nettes améliorations, j'étais très contente.
Je suis rentrée chez moi au top de ma forme, j'ai passé une excellente soirée en famille et me suis endormie sur des fous rires avec ma soeur, dans le noir, dans nos lits. C'est ainsi que ma journée s'est terminée et je m'endormais confiante des bienfaits de cette nouvelle année.